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 Gonjiam Psychiatric Hospital : Bae Min Woo & Kwon Sae Hee

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MessageSujet: Gonjiam Psychiatric Hospital : Bae Min Woo & Kwon Sae Hee   Gonjiam Psychiatric Hospital : Bae Min Woo & Kwon Sae Hee Clock10Sam 1 Nov - 11:07


Gonjiam Psychiatric Hospital


Avez-vous déjà fait un terrifiant cauchemar se déroulant dans un vieux bâtiment abandonné ? Préparez-vous à être tout aussi effrayé, à présent.
Gonjiam, en Corée du Sud, est un hôpital psychiatrique abandonné. Cet hôpital délabré est connu pour être l’un des plus hantés au monde et, même si vous ne croyez pas aux fantômes, cet endroit vous donnera des frissons.

Le bâtiment fut abandonné au milieu des années 90 et est depuis resté entièrement interdit au public. Cependant, grâce à son architecture sinistre et à son passé à vous glacer le sang, un peu plus d’une centaine de personnes par an s’introduise entre ses murs à la recherche de fantômes. Cette année, à titre exceptionnel, la mairie de Gwangju a décidé d’officiellement ouvrir ses portes pour Halloween, afin que, par petits groupes, les personnes intéressées puissent visiter ce lieu hautement hanté.

La légende raconte que le directeur un peu fou de cet hôpital gardait ses patients enfermés comme des prisonniers. Chaque patient était enfermé toute la journée dans une cellule particulière et ne sortait jamais, à une seule exception près : être sacrifié. On dit qu’il y a bel et bien une raison à ces sacrifices. Une malédiction qui touchait le directeur. L’année de l’ouverture de l’hôpital, il avait reçu un dessin bien particulier d’un de ses patients. La personne sur le dessin, si l’on pouvait appeler cela une personne, l’avait rendu inquiet sur l’état émotionnel de son patient. C’était quelqu’un vêtu d’une camisole de force intégrale. Ses membres et son corps étaient entourés d’une masse informe de tissu. Son visage était dissimulé derrière un entrelacs de bandages et de ceintures de restriction. Le directeur ne s’en était pas plus inquiété que cela. Il avait soigné le patient autant qu’il pouvait et l’avait renvoyé chez lui. Il n’avait plus pensé à ce perturbant dessin jusqu’à une année plus tard. Il était en retard à une réunion du personnel et s’était dépêché d’entrer dans l’ascenseur qui le mènerait du dernier étage du bâtiment jusqu’au sous-sol, où se trouvait les salles d’entrepôt et la salle de réunion. Il l’avait vu pour la première fois alors que les portes de l’ascenseur se refermaient mais n’avait percuté l’information qu’une fois arrivé dans la salle de réunion. Le dessin se balançait d’avant en arrière derrière un petit groupe de patients. Il n’avait pu voir que sa tête, enveloppée de tissus, tremblant de manière incontrôlable. Alors que la réunion commençait, il avait simplement décidé d’oublier cette vision.

Mais il le vit encore. Le vendredi suivant, il tenait une conférence destinée aux parents des malades, afin qu’ils comprennent mieux la maladie de leur proche. Une vingtaine de minutes après le début de son speech, il avait entendu un bruit provenant de la porte tout au fond de la salle, celle qui donnait sur le couloir. Cela ressemblait à un frottement métallique. C’était un bruit de fond, passant presque inaperçu. Puis il augmenta. De plus en plus. Le son devient si assourdissant qu’il ne pouvait même plus entendre les murmures décontenancés des parents. Tous le regardaient avec de grands yeux perplexes. Personne n’entendait ce bruit. Personne n’entendait ce qu’il entendait. Ses tympans étaient sur le point d’éclater. Puis le bruit cessa. Les murmures se firent plus conséquents. Tout ceci était-il arrivé ? Était-il en train de devenir fou ? Un frisson parcouru son dos de haut en bas. Le dessin était là. Il se tenait de l’autre côté de l’embrasure de la porte. Il avait de petits mouvements convulsifs. Les chaines et les cadenas de sa camisole s’entrechoquaient bruyamment. Il se tourna immédiatement vers le directeur qui fit un petit bond en arrière. Un docteur lui donna un petit coup dans les côtes. Alors qu’il s’était tourné vers lui puis retourné vers la porte, la chose avait disparu.

C’est alors qu’il se mit à le voir et à l’entendre partout. Comme si le dessin le suivait. Et à chaque fois, il était un peu plus proche. Le directeur était épuisé mais désirait absolument lui faire face. Quand il le fit, il ne put plus bouger. Le dessin se tenait à une dizaine de mètres. Les bandages s’étaient défaits d’un de ses bras, qui se balançait librement. Une plaie infectée répugnante s’était formée à l’air libre d’une longue déchirure sur son flan gauche. Après quelques secondes à cacher son nez et ses yeux, le directeur se redressa et vit quelque chose à travers le tissu déchiré. Un visage. Il y avait un visage là où il n’y aurait pas dû en avoir un. Il était de profil et collé au torse de la chose. Son visage était craquelé et une substance noire en dégoulinait. Soudain, ses yeux s’ouvrirent et se fixèrent sur le directeur. C’est à ce moment-là que ce dernier se mit à courir. Il courut aussi vite que possible, zigzaguant à travers les patients du couloir. La chose gagnait du terrain et il pouvait entendre les chaines céder. Il se tourna pour essayer de le voir. La camisole s’étiolait et il y avait plus de visages. Des dizaines. Tous le fixaient. Ce ne fut qu’une fois dans son bureau, la porte fermée à double tour, qu’il pu se calmer.

Après des jours et des jours d’intenses recherches, il sembla enfin découvrir quel mal le poursuivait. Une malédiction. La chose du dessin était en réalité une momie soldat enterrée sur le lieu exact où a été construit l’hôpital, durant une guerre. Le soldat fut enterré puis ramené à la vie pour tuer. Il se nourrit de l’âme de ses victimes et n’abandonne jamais. Il n’y a aucun moyen de l’éviter pour toujours car il finit toujours par vous rattraper. Seuls ceux destinés à mourir de ses mains peuvent le voir. Alors, le directeur fit un pacte avec la momie. Il lui fournirait des âmes à emporter si elle le laissait vivre. Les années passaient et les patients disparaissaient tous mystérieusement sans qu’aucune raison valable ne soit transmise à la famille. L’hôpital ferma ses portes en 1996 lorsque le directeur s’enfuit aux États-Unis suite à une descente de police due à de nombreuses plaintes des familles.

Depuis ce jour, l’hôpital fut laissé à l’abandon et la nature a repris ses droits dessus. Malgré tout, les pièces sont encore remplies de meubles et de dossiers médicaux. Et parfois, dans le silence ou au détour d’un couloir, vous pouvez entendre le bruit sinistre et métallique de chaînes qui s’entrechoquent et de cadenas qui s’ouvrent.
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MessageSujet: Re: Gonjiam Psychiatric Hospital : Bae Min Woo & Kwon Sae Hee   Gonjiam Psychiatric Hospital : Bae Min Woo & Kwon Sae Hee Clock10Ven 14 Nov - 7:58

Pour Halloween, Sae Hee a décidé de jouer du côté du danger et de l'horreur. Contrairement à beaucoup d'autres jeunes filles de son âge, elle n'a jamais été du genre facile à impressionner. En réalité, elle n'a jamais même cru aux histoires de fantômes et de revenants. Que des foutaises dit-elle souvent. Toutefois, récemment, on en parle partout sur les réseaux sociaux et elle s'est dit : mais pourquoi pas? Bien qu'elle ne soit pas particulièrement enthousiaste à l'idée de visiter des lieux hantés, parce qu'elle trouve cela d'un tel ennui, elle s'est laissée tentée par tous les commentaires. Bien évidemment, ce n'est pas seule qu'elle décide d'y aller. Elle doit entraîner quelqu'un avec elle dans ses aventures. Et très certainement, elle ne va pas y aller – il y a deux endroits en vogue : un vieux parc d'attraction jamais ouvert et un ancien asile psychiatrique; elle a choisi l'asile, tout simplement parce qu'elle n'a pas besoin de s'habiller chaudement pour l'occasion, le temps se faisant un peu plus frais et que pour Sae Hee les mini-jupes sont un must have – accompagnée du premier venu. Non, elle a ses critères. Le jeune homme – parce que bien sûr elle n'ira pas avec une fille qui va hurler toutes les trente secondes – doit lui être agréable et beau. Bien qu'elle soit simple, Sae Hee apprécie toujours être en bonne compagnie, autant pour son cœur que pour ses yeux.

C'est pour cette raison que son choix s'est arrêté sur une personne très intéressante avec qui elle se considère en plutôt bon terme. Il s'agit de nul autre que Bae Min Woo. Elle ne se souvient plus trop de quels étaient leurs rapports à la base, comme elle a plutôt tendance à oublier tout ce qui concerne ses crushs, sauf le fait qu'elle les a oublié après l'échec. Enfin, est-ce qu'il y a vraiment eu échec avec Min Woo? Rien de moins important que cela en réalité.

Elle n'a pas hésité à lui proposer l'activité et comme elle s'y est attendu, la réponse a été positive. Comme Min Woo est assez séduisant et lui plaît bien, contrairement à d'autres membres du groupe qui prévoient tout simplement rester à la maison en pyjama et regarder des films d'horreur en mangeant des feuilles d'algues séchées et de la pizza à la pâte de biscuit, Sae Hee passe quelques heures dans la salle de bain à se préparer et à se parfumer. Elle n'a pas du tout l'intention de plaire, bien sûr. Elle enfile cette nouvelle robe ultra courte et révélatrice que lui a fabriquée l'autre jour son cousin. Comme toujours, c'est du travail de génie, parfaitement exécuté. Elle ne lui en est que trop reconnaissante.

C'est absolument séduisante qu'elle quitte le dortoir, en rien préparée pour une soirée d'horreur : pourquoi faire d'ailleurs? Il n'y a pas plus de momie dans cet hôpital qu'il n'y en a dans sa penderie, elle en est bien certaine. Elle a effectivement fait ses recherches avant de se rendre à l'endroit. Question de pouvoir susurrer la légende à l'oreille de son partenaire, d'une voix mystérieuse. Et sexy. Forcément, il n'y a pas d'autre choix pour quelqu'un comme Sae Hee que de toujours apparaître à son meilleure et elle sait très bien qu'être adorable ne lui sied pas du tout.

Elle prend le taxi pour arriver au lieu de rendez-vous. Dès qu'elle pose son pied chaussé de souliers à hauts talons elle sort son téléphone portable d'une main experte pour demander à son invité s'il est en route et arrivera bientôt. Sae Hee manque malheureusement de patience, c'est un fait. Puis malgré ses fins bas collants en nylon, elle ressent le froid l'assaillir de façon peu aimable. Et elle déteste avoir froid. L'asile trône sinistrement devant elle et loin de s'en préoccuper, elle vadrouille d'un SNS à l'autre en mode rapace.
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