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 Gonhjiam Psychiatric Hospital : Kim Hoon Byeol, No Min Hua & Yoo Woonjae

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MessageSujet: Gonhjiam Psychiatric Hospital : Kim Hoon Byeol, No Min Hua & Yoo Woonjae   Gonhjiam Psychiatric Hospital : Kim Hoon Byeol, No Min Hua & Yoo Woonjae Clock10Sam 1 Nov - 10:21


Gonjiam Psychiatric Hospital


Avez-vous déjà fait un terrifiant cauchemar se déroulant dans un vieux bâtiment abandonné ? Préparez-vous à être tout aussi effrayé, à présent.
Gonjiam, en Corée du Sud, est un hôpital psychiatrique abandonné. Cet hôpital délabré est connu pour être l’un des plus hantés au monde et, même si vous ne croyez pas aux fantômes, cet endroit vous donnera des frissons.

Le bâtiment fut abandonné au milieu des années 90 et est depuis resté entièrement interdit au public. Cependant, grâce à son architecture sinistre et à son passé à vous glacer le sang, un peu plus d’une centaine de personnes par an s’introduise entre ses murs à la recherche de fantômes. Cette année, à titre exceptionnel, la mairie de Gwangju a décidé d’officiellement ouvrir ses portes pour Halloween, afin que, par petits groupes, les personnes intéressées puissent visiter ce lieu hautement hanté.

La légende raconte que le directeur un peu fou de cet hôpital gardait ses patients enfermés comme des prisonniers. Chaque patient était enfermé toute la journée dans une cellule particulière et ne sortait jamais, à une seule exception près : être sacrifié. On dit qu’il y a bel et bien une raison à ces sacrifices. Une malédiction qui touchait le directeur. L’année de l’ouverture de l’hôpital, il avait reçu un dessin bien particulier d’un de ses patients. La personne sur le dessin, si l’on pouvait appeler cela une personne, l’avait rendu inquiet sur l’état émotionnel de son patient. C’était quelqu’un vêtu d’une camisole de force intégrale. Ses membres et son corps étaient entourés d’une masse informe de tissu. Son visage était dissimulé derrière un entrelacs de bandages et de ceintures de restriction. Le directeur ne s’en était pas plus inquiété que cela. Il avait soigné le patient autant qu’il pouvait et l’avait renvoyé chez lui. Il n’avait plus pensé à ce perturbant dessin jusqu’à une année plus tard. Il était en retard à une réunion du personnel et s’était dépêché d’entrer dans l’ascenseur qui le mènerait du dernier étage du bâtiment jusqu’au sous-sol, où se trouvait les salles d’entrepôt et la salle de réunion. Il l’avait vu pour la première fois alors que les portes de l’ascenseur se refermaient mais n’avait percuté l’information qu’une fois arrivé dans la salle de réunion. Le dessin se balançait d’avant en arrière derrière un petit groupe de patients. Il n’avait pu voir que sa tête, enveloppée de tissus, tremblant de manière incontrôlable. Alors que la réunion commençait, il avait simplement décidé d’oublier cette vision.

Mais il le vit encore. Le vendredi suivant, il tenait une conférence destinée aux parents des malades, afin qu’ils comprennent mieux la maladie de leur proche. Une vingtaine de minutes après le début de son speech, il avait entendu un bruit provenant de la porte tout au fond de la salle, celle qui donnait sur le couloir. Cela ressemblait à un frottement métallique. C’était un bruit de fond, passant presque inaperçu. Puis il augmenta. De plus en plus. Le son devient si assourdissant qu’il ne pouvait même plus entendre les murmures décontenancés des parents. Tous le regardaient avec de grands yeux perplexes. Personne n’entendait ce bruit. Personne n’entendait ce qu’il entendait. Ses tympans étaient sur le point d’éclater. Puis le bruit cessa. Les murmures se firent plus conséquents. Tout ceci était-il arrivé ? Était-il en train de devenir fou ? Un frisson parcouru son dos de haut en bas. Le dessin était là. Il se tenait de l’autre côté de l’embrasure de la porte. Il avait de petits mouvements convulsifs. Les chaines et les cadenas de sa camisole s’entrechoquaient bruyamment. Il se tourna immédiatement vers le directeur qui fit un petit bond en arrière. Un docteur lui donna un petit coup dans les côtes. Alors qu’il s’était tourné vers lui puis retourné vers la porte, la chose avait disparu.

C’est alors qu’il se mit à le voir et à l’entendre partout. Comme si le dessin le suivait. Et à chaque fois, il était un peu plus proche. Le directeur était épuisé mais désirait absolument lui faire face. Quand il le fit, il ne put plus bouger. Le dessin se tenait à une dizaine de mètres. Les bandages s’étaient défaits d’un de ses bras, qui se balançait librement. Une plaie infectée répugnante s’était formée à l’air libre d’une longue déchirure sur son flan gauche. Après quelques secondes à cacher son nez et ses yeux, le directeur se redressa et vit quelque chose à travers le tissu déchiré. Un visage. Il y avait un visage là où il n’y aurait pas dû en avoir un. Il était de profil et collé au torse de la chose. Son visage était craquelé et une substance noire en dégoulinait. Soudain, ses yeux s’ouvrirent et se fixèrent sur le directeur. C’est à ce moment-là que ce dernier se mit à courir. Il courut aussi vite que possible, zigzaguant à travers les patients du couloir. La chose gagnait du terrain et il pouvait entendre les chaines céder. Il se tourna pour essayer de le voir. La camisole s’étiolait et il y avait plus de visages. Des dizaines. Tous le fixaient. Ce ne fut qu’une fois dans son bureau, la porte fermée à double tour, qu’il pu se calmer.

Après des jours et des jours d’intenses recherches, il sembla enfin découvrir quel mal le poursuivait. Une malédiction. La chose du dessin était en réalité une momie soldat enterrée sur le lieu exact où a été construit l’hôpital, durant une guerre. Le soldat fut enterré puis ramené à la vie pour tuer. Il se nourrit de l’âme de ses victimes et n’abandonne jamais. Il n’y a aucun moyen de l’éviter pour toujours car il finit toujours par vous rattraper. Seuls ceux destinés à mourir de ses mains peuvent le voir. Alors, le directeur fit un pacte avec la momie. Il lui fournirait des âmes à emporter si elle le laissait vivre. Les années passaient et les patients disparaissaient tous mystérieusement sans qu’aucune raison valable ne soit transmise à la famille. L’hôpital ferma ses portes en 1996 lorsque le directeur s’enfuit aux États-Unis suite à une descente de police due à de nombreuses plaintes des familles.

Depuis ce jour, l’hôpital fut laissé à l’abandon et la nature a repris ses droits dessus. Malgré tout, les pièces sont encore remplies de meubles et de dossiers médicaux. Et parfois, dans le silence ou au détour d’un couloir, vous pouvez entendre le bruit sinistre et métallique de chaînes qui s’entrechoquent et de cadenas qui s’ouvrent.
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MessageSujet: Re: Gonhjiam Psychiatric Hospital : Kim Hoon Byeol, No Min Hua & Yoo Woonjae   Gonhjiam Psychiatric Hospital : Kim Hoon Byeol, No Min Hua & Yoo Woonjae Clock10Sam 8 Nov - 5:05

« Tu le fais pour tes potes Byeol, pour tes potes. Et puis, qu'est-ce qui pourrait t'arriver dans ce trou pourri hein ? C'est pas comme si c'était vraiment hanté et qu'une momie allait te courir après ou te sauter dessus pour te maudire jusqu'à la fin de tes jours ou pire, te bouffer un bras ou la cervelle... hahahaha....... Putain, qu'est-ce que je fous là ?! ». Voilà la conclusion que tu tires après une minute passée à tourner en rond comme un lion en cage devant la grille du lieu où tu avais donné rendez-vous à tes deux meilleurs amis. L'un comme l'autre, ils ne savent pas que tu les as invité tous les deux, tu savais qu'aucun ne viendrait sinon. Ils ne t'avaient pas vraiment expliqué ce qu'il s'était passé entre eux, mais tu étais bien déterminé à arranger les choses.

C'est pour ça qu'à 23h, le soir de Halloween, tu te tiens devant un vieil hôpital désaffecté et hanté, qui plus est. C'était encore l'une de tes idées foireuses, mais tu t'étais dit que ça pourrait marcher. Tu étais prêt à faire ce qu'il fallait pour les réconcilier, qui à tomber dans les pommes à la fin. Du moins, si tu arrivais à tenir jusque là pour en sortir vivant.

Mais plus les secondes passent, plus tu te dis que tu aurais mieux fait de les inviter à prendre un verre autour d'un bon plat. Oui, ça aurait sûrement été mieux que de mourir de peur dans un ancien centre psychiatrique. Déjà que tu avais horreur des hôpitaux quand ils étaient tous neufs, tous propres, tous blancs. Alors d'un hôpital en ruine... Qu'est-ce que tu ne ferais pas pour eux !

Tu ne cesses de gigoter, tu ne tiens pas en place tellement la peur et l'appréhension t'envahissent alors que tu n'y as toujours pas mis les pieds. Tu commences même à te demander si tes deux compères viendront. Tu savais que tu aurais dû demander à Hoon Jin de t'accompagner. Quoique, tout était de sa faute. Il avait toujours été le premier, quand vous étiez gamins, à raconter des histoires plus morbides les unes que les autres. Toi, en tant que grand-frère, tu faisais comme si ça ne t'effrayait absolument pas, alors qu'en vrai, t'étais à deux doigts de te faire dessus. Tu te souviendrais toujours de la fois où il t'avait raconté une histoire sur un petit garçon qui était mort dans l'hôpital où tu devais rester et surtout, passer la nuit seul. Pendant une semaine, tu avais laissé la lumière allumée la nuit, ne pouvant fermer les yeux qu'une fois le soleil levé. Et tout ça, à cause de ton frangin. Alors au final, il était bien là où il était.

Lorsqu'il ne te reste plus aucun ongle à ronger, tu finis par sortir ton téléphone : toujours aucune nouvelle. Tu finis par appeler l'un de tes amis pour savoir où il se trouve, espérant fortement qu'il ne se soit pas fait attaquer par tu-ne-sais quelle bête affreuse. Tu entends la tonalité et enfin, grand miracle, la voix de ton pote : « Yah ! T'es où ? Ça fait 10 minutes que t- AAAAAAAAAAAAH !!! ». Crise cardiaque. Ça y est, la mort arrive.

Tu fais un bond d'un mètre, les jambes flageolantes comme deux brindilles au vent, prêtes à se briser. Tu penses que c'est la fin quand tu te rends compte qu'il ne s'agit que de ton autre compagnon. « T'es vraiment con putain, j'ai failli crever là ! ». Tu entends à l'autre bout du téléphone une voix masculine qui se met à hausser le ton et tu recolles l'appareil à ton oreille : « Rien, rien ! Juste, grouilles toi, on t'attend ! ». Et sans attendre, tu raccroches sous le regard interrogateur de ton ami. Tu te remets à peine de la peur qu'il vient de te faire. Tu sens que ça va être une longue, très très longue nuit. « Toi, j'te retiens ! ».
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